Macedonio Fernández (1874–1952)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Fernndez-Adriana-Buenos-Aires/530172

> Que ce soit dans ces poèmes où il élabore une poétique inouïe, dans ses textes brefs, véritables pièges à lecteurs, ou dans ses romans, Macedonio Fernández fonde un univers d'une nouveauté radicale. Son idéalisme, qui ne pourrait être seulement qu'un nihilisme, anéantit en même temps le réel et une certaine littérature dite réaliste.
—Danieljean (Babelio)… (mer)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Fernndez-Papiers-de-Nouveauvenu-et-continuation-d...

> C'est un sentiment d'ignorance, mais, en l'occurence, involontaire et sans allégresse, que le chroniqueur partage, ici, alors qu'il aurait tant souhaité donner un aperçu de l'oeuvre de Macedonio Fernández, susceptible d'entraîner le lecteur à la découverte d'un écrivain entre tous rare, entre tous solitaire : d'un Grec arrivé trop tard en ce monde – les astres ayant parfois de ces distractions –, qui aurait manqué d'interlocuteurs pour empêcher la dispersion de ses soliloques. D'un homme qui, seul avec lui-même, et tout en répugnant de se sentir quelqu'un, un monsieur muni de papiers d'identité, ne tenait qu'à être "soi". Et qui, comme Monsieur Teste – mais légèrement plus réel que ce personnage fait de mots, et, avec une sorte de bonheur négligent –, s'obstinait, en jouant de la guitare, dans les longues tenues sur les cordes, à répéter, à marteler les quelques questions qui auront toujours hanté l'esprit des poètes, des philosophes : la réalité, l'être et le non-être, le langage, l'origine des sentiments, le sens de la souffrance dans l'économie du monde… Sans attendre la récompense d'une réponse : pour le plaisir socratique de penser.
—Danieljean (Babelio)… (mer)

Alerta de destripe*: No es una novela, y no se sabe bien si comienza o no.

¡Qué difícil tratar de explicar un libro como este! Como dije, no es novela, no hay historia que contar (y si la hay, solo de a ratos, en ráfagas casi tímidas, como si buscase perderse a lo lejos, a confundirse en un ejercicio sobre asuntos que vienen y que van, en un mar de observaciones del autor). Macedonio es un impredecible, juega con los géneros: ¿el ensayo? ¿el cuento? ¿la bitácora? ¿la ausencia total de convenciones?

Imposible de clasificar. No por eso deja de ser interesante en sus reflexiones sobre temas tan dispares como el Arte, la crueldad o la siesta. Todo en ese tipo de escritura que solo se puede dar en Buenos Aires. Ni un milímetro más allá.

Es un libro muy corto, apenas 76 páginas incluyendo el prólogo. Se podría acotar que esto es bastante afortunado, ya que de extenderse más se tornaría desquiciante.


*Créase o no, «destripe» es la traducción que propone la RAE para «spoiler».… (mer)