René Adolphe Schwaller de Lubicz (1887–1961)

> DISCERNEMENT ET ÉSOTÉRISME — R. A. Schwaller de Lubicz distingue « l'intelligence cérébrale » (« la conscience cérébrale ») de « l’intelligence du Cœur » (« la conscience innée »). L’intelligence cérébrale fonctionne sur « un principe d’opposition et du croisement ». « La conscience cérébrale s’inscrit ou se “graphie" dans la matière cérébrale », « La conscience innée s’inscrit dans la nature de l’organisme, c'est-à-dire que le mobile de sa fonction est l’impulsion de sa nécessité, l’idée, ou principe d’Harmonie. Chez l’homme, comme déjà chez l’animal supérieur, ceci crée l’émotivité. Plus la sensibilité émotive est grande, plus la conscience innée peut s’exprimer ». |
—R. A. Schwaller de Lubicz, Propos sur ésotérisme et symbole, Dervy-Livre, 1977.
*Source : Revue 3e millénaire, n°37, Automne 1995 (p. 31)

> Quel meilleur Initié véritable, pour découvrir l'Esotérisme et ses relations avec l’intelligence, la Conscience et le Devenir que R. A Schwaller de Lubicz lui-même, philosophe et égyptologue célèbre, dont toute la vie fut une recherche de la Connaissance à travers les moyens d’expression des Anciens.
—Nouvelles Clés

> « Dans cette Unité, notre intelligence cérébrale ne peut plus rien
discerner, donc l’intelligence cérébrale ne joue plus, il lui faut l’opposition :
nous et l’objet, l’homme et la femme, oui et non, nuit etjour, lumière et ombre. »
—R. A. Schwaller de Lubicz, Propos sur ésotérisme et symbole, Dervy-Livre, 1977.… (mer)

Un riassunto del famoso ed enciclopedico libro Il Tempio dell'Uomo sempre di R.A. Schwaller De Lubicz. Ovviamente per la brevità dell'opera, molti dei concetti sono stati solamente accennati e si è cercato di fare trasparire nel modo più sintetizzato possibile il messaggio che voleva trasmettere l'autore.

I concetti fondamentali ripresi sono:

Noi dobbiamo, una volte er tutte, concepire il tempio faraonico come un seme che ha in gestazione il proprio frutto. Per loro la costruzione deve vivere, Herbert Ricke la considera addirittura come "vegetale".La crescita avviene in tre dimensioni; una gestazione è una trasformazione costante sino alla perfezione del seme nuovo.

Il mito è un tutto, la sintesi di ogni scienza, dato che trascrive la Conoscenza fondamentale delle Leggi di Genesi che si applicano a tutto. Così i Neter hanno il loro significato, sia in medicina che in astronomia, o in teologia che è la metafisica del Divenire con Ritorno.

La mentalità faraonica è tipicamente indiretta. Ci si servirà di una forma definita per evocare l'Idea di questa forma, cioè il complesso astratto che presiede a questa forma definita.

Tutto nella Natura che è Viva, è provocato dall'azione del complemento. Questo costituisce l' "incrocio" e il gioco della resistenza.

Quando gli Antichi tracciano una figura, non è più la figura che guardano, ma ciò che vi proiettano da se stessi: fisicamente la guardano come un'ombra, un traforo nella luce della sua assenza. Individuano i suoi contorni. Quando tracciano una figura geometrica, non è più questa figura ad interessarli, la la Legge fatale che la impone e la conseguenza fatale che esse provoca. Così la geometria assume lo stesso carattere di vita delle immagini che scolpiscono o tracciano.

E' impressionante vedere dalla moltitudine di raffigurazioni riportate nel libro, come ogni dettaglio avesse un senso, una Causa, diventando quindi Simbolo vivente.
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> LE MIRACLE EGYPTIEN, par R. A. Schwaller de Lubicz. Collection "Homo-Sapiens", Flammarion. — Dans son oeuvre maîtresse, "Le Temple de l'homme", R. A. Schwaller de Lubicz, après quinze années d'études passées à Louqsor, donnait la preuve certaine de la haute Connaissance et de la perfection dans tous les domaines de la Révélation égyptienne, dés les premières dynasties. Mais les détails techniques, les dissertations mathématiques et géométriques nécessitées par ces révélations extraordinaires des connaissances pharaoniques, effarouchent parfois les lecteurs intéressés surtout par l'enseignement philosophique et les moyens de parvenir à sa compréhension intuitive. C'est pourquoi ce nouveau livre. "Le Miracle égyptien", était nécessaire pour expliquer d'une manière plus accessible ce Temple de Connaissance qu'était l'Egypte ancienne.
—La presse, 22 juin 1963

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Schwaller-de-Lubicz-Le-Miracle-egyptien/153003… (mer)

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Schwaller-de-Lubicz-Le-Temple-dans-lhomme/227156

> LE TEMPLE DANS L'HOMME, de R. A. Schwaller de Lubicz (1979, Dervy-Livres, 160 p. (coll. « Architecture et symboles sacrés »)). — Ce livre fait partie de travaux de l’auteur portant sur la symbolique et la culture égyptienne, en cours depuis plus de vingt ans. Il s’agit ici du temple de Louxor et de la symbolique décelable dans son architecture, comme en font foi les relevés topographiques, les documents photographiques qui nous sont proposés. Mais il ne faudrait pas s’en tenir au point de vue quantitatif, dans cette étude ; l’interprétation est à chercher dans le qualitatif et le fonctionnel. Le temple devient le lieu d’une hiérophanie, destinée à ceux qui disposent de la connaissance permettant de la décrypter, les Neter, principes portés par un signe. Il faut reconnaître que, du sud au nord, le temple dévie ; on y cherchera l’image de l’Homme microcosmique. Si on rencontre le nombre d’or, ce n’est pas à titre de proportion mathématique, mais en tant que principe naturel des lois de l’équilibre. Dans la représentation humaine, le bandeau ou le diadème sépare de la tête la calotte crânienne, symbole des organes de l’intellect. Les volumes ne seront pas à comprendre géométriquement, mais les uns par rapport aux autres en termes de croissance ; le temple représente ainsi un être en devenir, un vivant. Le rythme de développement suit le nombre d’or. La mosaïque de la plate-forme sud donne l’image d’une figure humaine en profil ; le schéma général du temple correspond à un squelette ; les agrandissements successifs du temple renvoient aux proportions successives d’un corps en développement jusqu’à l’état adulte. Le temple et l’homme, la nature et l’homme ainsi ne font qu’un.
Le temple a donc une valeur didactique ; c’est une méthode pour traduire une pensée ordonnée. La suite des rois a réalisé ce programme dans l’extension progressive de ce temple. A travers ces éléments empruntés à l’égyptologie, l’esthéticien, l’amateur d’art trouveront dans ce volume des perspectives nouvelles sur la sagesse de l’Orient ancien, ses assises astronomiques et physiologiques, sa conception de la vie humaine, projetées dans la création architecturale. (Michel ADAM)
In: Revue Philosophique de la France et de l'Étranger, T. 170, No. 4 (Octobre-Décembre 1980), pp. 466-467

> LE TEMPLE DE L’HOMME, de Aor Schwaller de Lubicz. — La bible de ceux qui sont passionnés d’égyptologie pharaonique. Aor et Ischa vécurent plus de vingt ans près de Louksor — la vie, la mort, le but de l’existence, la réintégration finale… l'Égypte par le Temple savait tout cela. Un langage : les pyramides — tout est inscrit là dans et sur la pierre. Éd Dervy. (Albert SARALLIER)
—Nouvelles Clés, (12), Juillet/Août 1990, (p. 45)… (mer)