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Gerhard Wehr (1931–2015)

Författare till Jung: A Biography

74+ verk 406 medlemmar 5 recensioner 1 favoritmärkta

Om författaren

Gerhard Wehr is a German writer who has published numerous books in the fields of depth psychology, anthroposophy, and Christian spirituality.

Verk av Gerhard Wehr

Jung: A Biography (1985) 109 exemplar
Jung and Steiner (1972) 24 exemplar
Jakob Boehme. In Selbstzeugnissen und Bilddokumenten. (1971) — Författare — 13 exemplar
Kabbala (Diederichs kompakt) (2002) 9 exemplar
Cahiers de l'Hermétisme (1977) 8 exemplar
Martin Buber (1971) 4 exemplar
Rosenkreuzerische Manifeste (1980) 4 exemplar
C. C. Jung 4 exemplar
Die deutsche Mystik (1988) 4 exemplar
Giordano Bruno. (1999) 3 exemplar
Karlfried Graf Dürckheim (1988) 3 exemplar
Paracelsus (1979) 2 exemplar
Angelus Silesius (2011) 2 exemplar
Luther (2004) 2 exemplar
Theo-Sophia 1 exemplar
Martin Luther 1 exemplar
Jakob Böhme (1999) 1 exemplar
Jacob Boehme 1 exemplar
Meister Eckhart 1 exemplar
Gnosis, Gral und Rosenkreuz (2007) 1 exemplar
Thomas von Kempen (2011) 1 exemplar

Associerade verk

Taggad

Allmänna fakta

Vedertaget namn
Wehr, Gerhard
Namn enligt folkbokföringen
Wehr, Gerhard
Andra namn
WEHR, Gerhard
Födelsedag
1931-09-26
Avled
2015-04-22
Kön
male
Nationalitet
Germany
Födelseort
Schweinfurt, Bayern, Deutschland
Dödsort
Schwarzenbruck, Bayern, Deutschland
Yrken
Theologe
Sachbuchautor

Medlemmar

Recensioner

> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Wehr-Karlfried-Graf-Durckheim/870985
> Bibliographie : https://www.librarything.fr/work/30835700/book/247558596

> K. G. DÜRCKHEIM, une vie sous le signe de la transformation, de Gerhard Wehr - éd. Albin Michel. — On présente souvent K. G. Dürckheim (1896-1988) comme l’un de ceux qui surent jeter un pont entre le savoir de l’Occident et la sagesse de l’Orient, entre la psychologie des profondeurs et la sérénité des pratiques spirituelles du bouddhisme. Dix ans après sa mort, cette remarquable biographie fait le point sur les ombres et les lumières d’un personnage hors du commun - depuis l’enfance châtelaine de celui qui allait devenir le comte Dürckheim, en passant par sa brève expérience d’universitaire puis de chargé de mission auprès de Ribbentrop jusqu’en fin 1937, son exil de diplomate au titre de la coopération culturelle au Japon à partir de l’année suivante. Il est dès le premier abord séduit par l’Empire du Soleil Levant avant de vivre un véritable éveil à la vie intérieure grâce à la rencontre avec « la culture du silence », la cérémonie du thé, l’art floral et l’ambiance des temples zen. En octobre 1945, il est incarcéré par les autorités américaines d’occupation et vit alors « un coup du destin que Dieu me donne, comme une chance pour me tourner spirituellement vers l’intérieur et vers l'avenir ». Aidé par la méditation zazen, il écrit des poèmes, des réflexions philosophiques, et continue à s’éveiller à la paix intérieure. A sa libération, il retourne en Allemagne où il rencontre Maria Hippius, ancienne élève qui deviendra sa compagne et sa plus proche collaboratrice sur le chemin de l’éveil au Soi et aux autres. Cette biographie ne cache rien des errances qui témoignent d’un lent processus de changement, l’éloignent des lourds nuages idéologiques pour aller vers la libération de l’âme. Un livre exemplaire qui donne encore plus de sens à une oeuvre essentielle pour notre temps, (M. de S.)
Nouvelles Clés, (15), Automne 1997, (p. 70)

> KARLFRIED GRAF DURCKHEIM, Une vie sous le signe de la transformation, de Gerhard Wehr. — Gerhard Wehr est un biographe de grande qualité ; on peut lui faire confiance ; c’est, à mon avis, celui qui a écrit la meilleure biographie de C. G. Jung, et son oeuvre, en ce qui concerne Durckheim, me semble tout aussi remarquable. Tous ceux qui font un travail personnel et, plus encore, guident d’autres personnes sur le chemin tracé par le maître de Rütte, devraient avoir lu ce livre et l’avoir vraiment intériorisé. Je ne veux pas dire qu’il faut prendre la vie de Durckheim comme modèle, mais que ce récit permet de bien discerner les événements et les choix auxquels il a dû faire face, non point pour faire comme lui - ce qui ne conduirait qu’à une impasse - mais pour mieux cerner les événements et les choix auxquels nous avons à nous confronter aujourd’hui dans nos vies. Ce qui ressort de cette biographie, en premier lieu, c’est la cohérence d’un itinéraire : milieu familial, études, premiers engagements sont dans la ligne qui dirigera la vie de Durckheim pendant des années, disons jusqu’à la fin de son séjour au Japon. Le comte Durckheim est un nationaliste convaincu, et l’avenir de son pays est pour lui de la première importance : il croit avec une ferveur quasi religieuse à la renaissance de l’Allemagne, puis à la « Grande Allemagne». La description de ces années de jeunesse me semble vraiment instructive aujourd’hui, par la distance historique qui nous sépare de messages reçus comme naturels et qui exaltaient le patriotisme comme une vertu, et la victoire sur l’autre, le voisin, l’ennemi comme une fierté. Cela nous semble si loin et si désuet, le nationalisme ! Et pourtant, l’idée de nation demeure dans l’inconscient collectif, parce qu’elle correspond à quelque chose de très humain - le territoire, l’identité - et elle a toujours tendance à resurgir, souvent sous des formes passionnelles. Pour en revenir à Durckheim, ce livre nous fait mieux comprendre la puissance, consciente et inconsciente, de l’idéal germanique chez lui. On sait, par les attitudes que dénonçait Jean Mouttapa dans son livre paru l’année dernière, que Durckheim est resté un propagateur de certaines des idées du Troisième Reich à peu près jusqu’à la fin de la guerre. On a pu s’étonner et chercher les raisons d’une prise de conscience si tardive. Je crois qu’en lisant cette biographie, on voit mieux que l’éducation, le milieu (on pourrait presque dire la « caste »), l’histoire individuelle et collective peuvent constituer des écrans très opaques. Et maître Eckhart, alors ? et le Tao te king ? Puisqu’il les lisait, ainsi que bien d’autres, dès la fin des années vingt, comment se fait-il qu’il n’y ait pas puisé une lucidité plus rapide ? Eh bien, c’est qu’il y a loin du puits à la bouche, d’une communion, qui a même pu dans le cas de la sagesse chinoise aller jusqu’à de brèves extases intellectuelles, à une véritable transformation, de ces transformations suffisamment profondes pour vous donner le courage d’affronter la peur terrifiante que produisent les régimes totalitaires. Il y a loin du pressentiment d’une nouvelle orientation à la réalisation, dans l’expérience concrète, avec toutes les conséquences que cela comporte … et la gangue de conditionnements est parfois épaisse et rigide. Chacun de nous le sait, s’il est honnête. La fin du séjour au Japon, pendant lequel il montre d’ailleurs un enthousiasme décroissant envers ses anciennes convictions, marque un tournant dans la vie de Durckheim : il a connu la prison, certaines humiliations, il vit le retour dans une Allemagne décimée et ravagée par les bombardements avec une intensité intérieure et un début de détachement où l’on sent les prémisses du changement. Tout cela est très bien décrit par Gerhard Wehr. Surtout, ce biographe a une tendresse particulière pour Maria Hippius, la seconde compagne de Durckheim. A le lire, elle a été le moteur principal du développement, de la mise au point et de la conceptualisation de la thérapie initiatique ; je ne sais si c’est tout à fait exact, mais on a là un très beau portrait de femme intuitive et organisatrice à la fois. Il demeure cependant certain que l’énergie de Durckheim, sa faculté à renaître d’expériences douloureuses, cette force intérieure dont il se servait - même s’il savait très bien qu’il ne la possédait pas mais qu’elle lui était donnée - son charisme de communication qui fit de lui un conférencier partout célèbre, son intelligence à la fois abstraite, des processus, et concrète, du moment favorable pour les réaliser : tout cela faisait de lui, dans une Allemagne qui tentait de se relever et dans un monde qui changeait, un homme prédisposé à guider d’autres hommes. Son biographe montre bien les articulations majeures de la voie qu’il proposait, ses lignes de forces principales, pas toutes empruntées au zen japonais comme on le croit trop souvent. La façon de vivre et de travailler, la manière d’entrer en relation avec l’autre, de conduire une relation thérapeutique, avec les problèmes que l’on doit affronter, tout cela fait l’objet d’analyses fines et détaillées.
Dans l’épilogue, qui s’appelle Poursuivre le chemin…, Wehr brosse un tableau rapide de la diffusion des Centres de thérapie initiatique ; il en oublie d’ailleurs, mais l’énumération est suffisante pour montrer qu’il s’agit là d’un mouvement de fond, et pas d’une « mode », et que pourtant ce mouvement est fragile : s’il se dissout dans la nébuleuse des courants de Nouvel Âge, il risque de perdre son identité ; ceux qui ont en charge de prolonger le travail du maître de Rütte doivent avoir conscience de la précision d’horloger avec laquelle il faut manier les processus psychiques, la clarté d’esprit que requiert la responsabilité d’accompagner l’autre, de la droiture - de la tête et du coeur - qui doit orienter toute approche créatrice.
Mais n’est-ce pas, tous, le travail que nous avons à accomplir ? Kosel Verlag GmbH & Co, Munich, 1988, traduction française. Éditions Albin Michel, 1997. (Ysé TARDAN-MASQUELIER)
Carnets du Yoga, (192), Avril/mai 1998

Il s’agit d’une biographie objective et passionnante. Exempte de toute polémique. C’est le récit de-la vie d’un homme exceptionnel.
N’est-il pas normal qu’un caractère comme le sien ait été imprégné d’un sens patriotique qui en a égaré bien d’autres ?
Après l’humiliation de 1918, la catastrophe économique qui s’en suivit, il furent nombreux à retrouver fierté et confiance grâce au National-Socialisme… Avant de découvrir (trop tard) de quel piège mortel il s’agissait…
C’est donc l’histoire d’un homme qui s’est trompé, puis qui a su accomplir une conversion (dans le vrai sens du terme), mettant ses connaissances des philosophies orientales au service d’un grand nombre de personnes.
Il transformait, adaptait ces sagesses pour en faire des « Thérapies de Vie », permettant à chacun de faire de l’existence elle-même, et du corps, des terrains d’expérimentations.
C’est la vie rayonnante d’un homme exemplaire. (Françoise BLÉVOT)
Carnets du Yoga, (192), Avril/mai 1998
… (mer)
 
Flaggad
Joop-le-philosophe | Jan 20, 2022 |
THEOLOGIA DEUTSCH

Aus der Fülle der Zeugnisse deutscher
Mystik ragt diese anonyme Schrift des
späten 14. Jahrhunderts in einer einzigartigen
Weise hervor. Der Text selbst ist seit der
Frühzeit der Reformation unter
verschiedenen Titeln in zahlreichen Auflagen und
ersetzungen in Umlauf gekommen;
bald als Theologia deutsch, bald als Der
Frankfurter, bald als Theologia Germanica.
Die Schrift will ein »Büchlein vom
vollkommenen Leben« sein, wie es die
Meister christlicher Spiritualität und geistlicher
Ubung, aber auch deren Schüler und
Schülerinnen mit Hingabe praktiziert
haben.

So gesehen, vereinigt es ein Wissen um die
Innenschau, sei es in der Geistesart eines
Meister Eckhart, eines Johannes Tauler
oder eines Heinrich Seuse. Auf einen ein-
fachen Nenner gebracht: THEOLOGIA
DEUTSCH ist eine leicht fafßliche und
doch konzentrierte Anleitung zur Übung
in der Gottesverbundenheit, und zwar auf
dem klassischen Drei-Stufen-Weg der Rei
nigung, der Erleuchtung und der Einung
in der unio mystica.

Kein Geringerer als Martin Luther, der das
Büchlein selbst zweimal herausgegeben
hat (1516 und 1518), urteilt: »Mir ist nach
der Bibel und Sankt Augustin nicht
vorgekommen ein Buch, daraus ich$
mehrerlernt habe. . . Ich danke Gott, daß ich
in deutscher Zunge meinen Gott als höre
und finde, als ich allhier nicht gefunden
habe, weder in lateinischer, griechischer
noch hebräischer Zunge!
Für den ausgesprochen
ökumenisch-überkonfessionellen Charakter spricht die
Tatsache, daß diese Elementarschrift
christlicher Mystik unter anderem von dem
Luther-Kritiker Sebastian Franck ins
Lateinische übersetzt wurde, und daß
meditativ Erfahrene sie schätzten: Lutheraner
wie Jesuiten, Spiritualisten und Pietisten.
Der heutige Leser der THEOLOGIA
DEUTSCH stellt sich damit in eine
lebenige geistige Tradition hinein. Diesem
Zweck einer Vergegenwärtigung möchte
die Einführung von Gerhard Wehr dienen,
der das Buch mit dieser Ausgabe aufs neue
herausbringt.
… (mer)
 
Flaggad
FundacionRosacruz | Jul 26, 2018 |
The Mystical Marriage is mostly a historical survey of Western religious and esoteric traditions oriented toward marital symbolism and the Jungian notion of the conjunctio. As an introductory survey, it is suitably wide, but not at all deep. The material is important, but I managed to get through the first 70% of this book without learning anything at all. The chapter on "Conjugal Kabbalistic Mysteries" uses some Romanized Hebrew that is alien to any system of my acquaintance: the Crown is given as Keter'elyon and Wisdom as Halma. The subchapter on the "Myth of Androgyny" is appended to the Jacob Boehme chapter, and although it works through to the ideas of Rudolph Steiner in the twentieth century, it avoids the most interesting developments of the esoteric androgyne in the nineteenth (i.e. Levi's Baphomet and Balzac's Seraphita).

Later sections of the book provided me with more benefit. The chapter on Novalis was likewise in a primer mode, but due to my relative ignorance of the subject matter I found it somewhat rewarding. In the eleventh chapter, Wehr discusses an interesting case study that should perhaps be grouped with Ida Craddock's Heavenly Bridegrooms: a German housewife whose experiments in automatic writing led to a marital union with a disincarnate entity named Lot. The final chapter offers the little bit of practical information in the volume: dreams, fairy tales, and religious meditation are presented as "Paths to the Symbol of Coniunctio."

The whole study is quite Teutonocentric, emphasizing continuity from Meister Eckhart and the Theologia Deutsch through Luther, Boehme, and German Rosicrucianism to C.G. Jung and his disciples. Translator Jill Sutcliffe has done a fairly mediocre job. German grammatical idioms often persist, as for example in this (self-referential?) sentence: "It needs no special debate to know that this is incorrect." (115) Wehr's bibliography is retained with all titles in German, including items originally translated from English such as Evelyn Underhill's Mysticism. The reader may infer that Sutcliffe has not conformed the Underhill quotes to the English original, but has subjected them to double-translation.

I'm not unimpressed with Wehr's range of sources and interests, and it may be that he has written more intensive studies which would benefit me. But taken as a whole, I would not recommend this book in its current translation. The "Irmengard Bardo" report of the eleventh chapter is the only reason that it will remain in my collection for the time being.
… (mer)
2 rösta
Flaggad
paradoxosalpha | Feb 10, 2011 |

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