This is about how to be in healthy relationships, romantic and otherwise. Although it uses Toltec spirituality as a framework, the main ideas here will be familiar to anyone who has read Eckhart Tolle or other works about mindfulness: the main message is that before you can be in a healthy relationship with someone else, you need to have a healthy relationship with yourself, and you need to be able to heal old wounds. ( )

I liked this book, but compared to The Four Agreements, it is not as tight or tidy, so to speak. The book presents some very good points, but it is a bit repetitive at times. In other words, what he did in about 200 pages, he could have done in 100, or at least 150, without losing the essence of the message.

The main thing I took away from it was the need to look into ourselves. This is a common sense concept and important because it leads to the idea that we cannot love or respect others if we do not love or respect ourselves first. You need to be aware, then you need to work towards forgiveness, then attain love. Some of the ideas from his previous book are here, particularly the idea of not taking things personally. Very often, people do things which may seem personal but are not. Notice I say "very often." I have struggled with Ruiz's idea of not taking it personal because there are always one or two not so nice people out there more than willing to harm you. Maybe it is the cynic in me, or maybe I just need to work more on some things. Anyhow, it is a book well worth reading. I think it may be beneficial for some couples as well, but do be warned, it can get a bit wordy sometimes. And that wordiness is what made me give it just the three stars instead of four. It made the pacing go a bit slow for the reading. ( )

Ruiz illuminates the fear-based beliefs and assumptions that undermine love and lead to suffering and drama in our relationships. Using insightful stories to bring his message to life, he shows us how to heal our emotional wounds, recover the freedom and joy that are our birthright, and restore the spirit of playfulness that is vital to loving relationships.

Librería 4. Estante 1

> Le rat des champs (Critiques Libres) : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/21404
> Voir un extrait : https://books.google.fr/books?id=UThiAgAAQBAJ&hl=fr&printsec=frontcover&...

> LA MAÎTRISE DE L'AMOUR, apprendre l’art des relations, de Don Miguel Ruiz. — « L’esprit humain souffre d’une maladie qu’on appelle la peur… notre corps émotionnel est couvert de plaies et celles-ci sont infectées de poison émotionnel ». Cet état quelque peu effrayant que décrit Don Miguel Ruiz est l’état ordinaire de l’être humain ordinaire. Il compare cela à une maladie mentale tellement commune que toute la psychologie et la recherche médicale partent du présupposé que cet état est la norme pour l’humain. La construction de la maladie mentale se fait dès les premières années, car jusqu’à trois ou quatre ans, le corps émotionnel est sain. Mais la transmission parentale se fait, et avec elle la peur est déposée en nous. C’est ainsi que depuis des millénaires le mécanisme de construction de l’ego se perpétue. Mais il est possible de vivre autrement que dans la peur, la frustration, la colère, le déni de soi. Il va falloir apprendre la chasse : jusqu’à présent, nous sommes la proie de l’ego qui se nourrit des émotions négatives, de notre image illusoire. Nous pouvons devenir chasseurs, par un renversement de notre attention vers nos réactions, de façon sentie : « c’est une guerre destinée à vous libérer du rêve qui contrôle votre vie ». « Traquer » ses réactions, sans relâche, devrait selon l’auteur mener au contrôle de ses réactions. L’étape suivante sera celle du pardon. Cet ouvrage décrit ainsi un processus de façon dualiste, car il manque ici la dimension de l’observation non duelle. Car qui traque, qui contrôle ses réactions et qui pardonne ? L’accent est mis sur une action à accomplir par soi-même, le « je » est donc placé en avant sans discrimination entre le « moi » ordinaire et Essence. Ou du moins ceci n’est pas suffisamment clair pour le lecteur. Car l’observation commence là où nous sommes, donc dans la dualité, avec un « moi » qui observe (qui peut par exemple être centré dans la tête), et une chose observée (qui peut être une émotion, ou une douleur par exemple), et un jugement associé : « je » n’aime pas cette émotion, ou cet douleur. Or, l’observation réelle, celle qui déconditionne l’être humain et lui fait retrouver sa plénitude d’être, est sans observateur. Elle n’est pas fragmentée, et n’est pas dans le temps… Ed. Jouvence, coll. Poches, 2009. 172 p.
—3e millénaire, (94), Hiver 2009