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Laddar... Pinocchio (Graphic Novel)av Winshluss, Carlo Collodi
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Gå med i LibraryThing för att få reda på om du skulle tycka om den här boken. Det finns inga diskussioner på LibraryThing om den här boken. One of the most highly-praised BDs of the millennium, Winshluss's Pinocchio is a very dark modern updating of the classic children's story, in which a robotic Pinocchio goes on an odyssey through an absurd and horrific wasteland. I always found Collodi's story quite disturbing, indeed upsetting, so to me this interpretation makes perfect sense, but it can be an uncomfortable read. Winshluss's art is remarkable, combining one-page strips in an "underground comix" style, wordless graphite-shaded sequences, black-and-white knockabout sketches, and beautifully rendered full-page pseudo-covers. Whereas the original Pinocchio is a mendacious little shit who to some extent deserves what's coming to him, Winshluss's version is a silent naïf, who floats through the carnage all uncomprehending, his blank, neutral face somewhat reminiscent of Peter Blegvad's Leviathan. I thought the whole thing was an overwhelming experience – violent, blackly comic, inventive and visually delightful. You'll never wish upon a star in the same way again. Winshluss est l’un de mes auteurs de bandes dessinées favoris. Il est donc naturel que je lise tous ses livres. Qui plus est, Pinocchio est le livre qui lui a apporté la consécration et est récipiendaire du meilleur album au festival de bandes dessinées de la ville d’Angoulême en 2009. Aussi, j’ai décidé de comparer deux bandes dessinées dans le cadre de cette réflexion. Je lis au moins une bande dessinée à chaque jour alors j’ai choisi un peu au hasard. Tout ce que contient ce livre m’a plu. Le ton est dénonciateur et irrévérencieux. Le dessin est griffé et puisse dans la bande dessinée underground américaine et dans les séries classiques européenne du genre « Pif ». Le livre est littéralement une série de tableaux qui illustrent la beauté dans un univers d’horreur. Il reprend les thèmes de l’œuvre originale de Carlo Collodi mais les révèle de façon plus lucide ou cynique, c’est selon. On rit. On pleure. C’est de toute beauté. C’est impossible pour moi de dire du mal de ce livre … vraiment. Je pourrais peut-être me plaindre du prix qui est relativement élevé. Par contre, bien que je n’achète pas souvent de livre (je vais surtout à la bibliothèque), j’ai acheté ce livre. Aussi, je pourrais me plaindre que je devrai attendre avant de le faire découvrir à mes enfants car il s’adresse clairement à un publique adulte en dépit de l’œuvre dont il s’inspire qui est un classique de la littérature jeunesse. Voila. L’objet ici est impressionnant. On est loin du format classique et convenue d’un « Tintin » par exemple. Le livre est gros et ressemble davantage à un grimoire ou un recueil de recettes à la Curnonski. Le livre est conçu pour ressembler à un objet culte. Il s’adresse à un public de collectionneur. La page couverture donne le ton de ce qui se trouve à l’intérieur du livre. Elle est exubérante, chargée et spectaculaire. Elle attire l’attention. Évidemment, il n’y a pas de table des matières, d’index, de résumé. Il n’y a pas non plus de préface ou de biographie de l’auteur. Je suis persuadé que toutes ces caractéristiques contribuent nettement à amplifier l’expérience de lecture. Le livre n’est pas banal, on peut supposer que la lecture ne le sera pas non plus. Le livre est gros et appelle à un moment spécial. Il ne s’agit pas d’un livre qu’on lit rapidement dans l’autobus ou qu’on lit sur la plage. Il est difficile d’inclure tous les éléments paratextuels dans l’analyse car plusieurs d’entre eux ne sont tout simplement pas représentés. Les seuls éléments de division dans le livre sont de courtes vignettes de « Jiminy Cafard », une référence à « Jiminy cricket ». Elles agissent à titre d’intermède entre les chapitres. Finalement, les couleurs un peu délavées évoquent le souvenir des premiers temps de la bande dessinée en guise d’hommage et d’inspiration. Il capolavoro di Winshluss, nome d’arte di Vincent Paronnaud, non è “In God we trust”, mi dicono, ma Pinocchio; con questo lavoro ha vinto il più prestigioso premio per un fumetto, quello di Angouleme. E, quindi, dopo aver letto la rivisitazione dell’antico testamento dell’autore francese, mi approccio con grande entusiasmo a questo Pinocchio. La storia del figlio di Geppetto viene approcciata in chiave moderna, il bambino di legno diventa una specie di robot ed il mondo si è trasformato rispetto ai tempi di Collodi. E anche la storia ha toni più cupi, poco il parlato, quasi tutto disegno; però nonostante la qualità impressionante del disegno stesso e la scelta condivisibile di Winshluss di ridurre al minimo i testi, questo Pinocchio non mi ha appassionato; Winshluss è artista di grande fantasia ed introduce nel suo lavoro diversi elementi di pura genialità, ma, ripeto, alla fine questo libro mi è apparso non incidente come “In God we trust”. La lettura non deve essere pura comparazione, perché una volta letto l’Ulisse si dovrebbero deporre i libri, ma in Pinocchio al racconto manca qualcosa. Cosa, non lo so. inga recensioner | lägg till en recension
"In this dark rendition of a classic tale, a greedy Geppetto builds Pinocchio as a metallic weapon of war, while Jiminy Cockroach is a homeless squatter living the good life in Pinocchio's skull"--Publisher. Inga biblioteksbeskrivningar kunde hittas. |
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Google Books — Laddar... GenrerMelvil Decimal System (DDC)741.5The arts Graphic arts and decorative arts Drawing & drawings Cartoons, Caricatures, ComicsKlassifikation enligt LCBetygMedelbetyg:
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Gareth Southwell is a philosopher, writer and illustrator.