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The cruel way av Ella Maillart
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The cruel way (urspr publ 1947; utgåvan 1947)

av Ella Maillart

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1895143,805 (3.62)26
In 1939 Swiss travel writer and journalist Ella K. Maillart set off on an epic journey from Geneva to Kabul with fellow writer Annemarie Schwarzenbach in a brand new Ford. As the first European women to travel alone on Afghanistan's Northern Road, Maillart and Schwarzenbach had a rare glimpse of life in Iran and Afghanistan at a time when their borders were rarely crossed by Westerners. As the two flash across Europe and the Near East in a streak of élan and daring, Maillart writes of comical mishaps, breathtaking landscapes, vitriolic religious clashes, and the ingenuity with which the women navigated what was often a dangerous journey. In beautiful, clear-eyed prose, The Cruel Way shows Maillart's great ability to explore and experience other cultures in writing both lyrical and deeply empathetic. While the core of the book is the journey itself and their interactions with people oppressed by political conflict and poverty, towards the end of the trip the women's increasingly troubled relationship takes center stage. By then the glamorous, androgynous Schwarzenbach, whose own account of the trip can be found in All the Roads Are Open, is fighting a losing battle with her own drug addiction, and Maillart's frustrated attempts to cure her show the profound depth of their relationship. Complete with thirteen of Maillart's own photographs from the journey, The Cruel Way is a classic of travel writing, and its protagonists are as gripping and fearless as any in literature.… (mer)
Medlem:SusanTahiti
Titel:The cruel way
Författare:Ella Maillart
Info:London, W. Heinemann [1947]
Samlingar:Female travel writers, world traveler, culture, society, China, Russia, Tibet, India,, middle east, Autobiography
Betyg:
Taggar:Ingen/inga

Verksinformation

The Cruel Way av Ella Maillart (1947)

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The author, along with her friend, Annemarie Schwarzenbach, takes a car trip in 1939 from Switzerland to Afghanistan. The narrative is part traditional travel narrative and part analysis of mental state of her companion who is referred to in the book as Christina. Maillart believes the trip will cure "Christina" of her chronic melancholy and addiction to morphine. But the journey is struggle from the beginning, as Christina continually lapses into her state of instability, while Mallart continues to do everything, she can to pull her friend out of it. The trip, itself, is a wonderous adventure through native cultures on the brink of upheaval by the coming of World War. Schwarzenbach, who died in 1942, published her own story of the trip, which is a dreamy set of essays that at times leaves you wondering whether this was the same trip taken with Maillart. I highly recommend reading "The Cruel Way" first, to give Schwarzenbach's "All the Roads Are Open" some needed context. I read the latter first and was confused about place and time until I read "The Cruel Way". Then it made sense. ( )
  ArtRodrigues | May 24, 2022 |
Ella Maillart fait partie de ces grandes exploratrices mythiques qui ont fait rêvé des générations entières d’ados. Je crois que je préfère l’écouter que la lire. J’aime la philosophie de vie qu’elle explique dans ses entretiens, et que je n’arrive pas à retrouver dans ses livres.
Le voyage dont il est question ici fut difficile, le titre en atteste, et pourtant Ella Maillart semble se cacher derrière ses phrases. Elle reste dans la description des paysages et des monuments qu’elle découvre, ses descriptions, précises et impartiales, sont à la fois belles et froides.
Sa fascination pour les personnes qu’elle rencontre est palpable, mais pose bien des questions. Elle s’interroge sur le sort des femmes, mais pas trop, elle vient avec sa belle voiture symbole de progrès pour découvrir des peuples qui vivent dans la splendeur de leurs traditions, mais elle fait mine de ne pas voir le paradoxe qu’il y a dans cette situation.
La Voie cruelle reste un bon livre, qui fait date dans la littérature de voyage, mais qui, comme souvent me semble-t-il, ne rend pas justice à son auteur.
  raton-liseur | Dec 28, 2020 |
> Babelio : https://www.babelio.com/livres/Maillart-La-Voie-cruelle/31544
> BAnQ (La presse, 4 août 2002) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2195047
> BAnQ (Le devoir, 21 oct. 2006) : https://collections.banq.qc.ca/ark:/52327/2809442
> Critiques Libres : http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/14423

> LA VOIE CRUELLE, Deux femmes, une Ford vers l'Afghanistan. En 1939 Ella Maillart entreprend ce voyage avec un double but : « aider mon amie et arriver à Kaboul. » L’amie c’est Christina, qui souffre d’un mauvais mal de vivre, qui a choisi « la voie compliquée, la voie cruelle de l’enfer » à une manière de vivre plus « facile ». Et dit autrement, ce double but est « d’acquérir la maîtrise de moi-même et de sauver ma compagne d’elle-même ». Et à la question : pourquoi voyagez-vous ? elle répond : « pour trouver ceux qui savent encore vivre en paix. » Petit rappel : nous sommes en 1939. Le mode est agité. La guerre est attendue.
Elles partent, donc. Mais pas seulement pour partir, ni pour seulement voyager. « Je sais, d’expérience, que courir le monde ne sert qu’à tuer le temps. On revient aussi insatisfait qu’on est parti. Il faut faire quelque chose de plus. » Ce plus ce sera le coté scientifique, ethnographique, des recherches sur ces sociétés traditionnelles qui « s’affaiblissent au point de s’écrouler devant notre matérialisme qui n’a pas de quoi les remplacer. » Ce plus ce sera aussi la recherche de soi : « Nous étions toutes deux des voyageuses : elle, voulant avec chaque départ oublier sa dernière crise émotionnelle (et ne voyant pas qu’elle souhaitait déjà la suivante) ; moi, cherchant toujours au loin le secret d’une vie harmonieuse. »
Ce livre raconte le boulot de deux écrivains et de leurs états d’âme, sur un ton parfois sérieux -« nous aussi nous étions en train de gagner notre vie en nous relayant au volant jour après jour… »-, mais plus souvent plein d’humour, par exemple quand elles se retrouvent seules sur la route au milieu de chars à boeufs et autres véhicules à allure d’escargot. Ce que Maillart appelle « l’ambiance âgée de la région ». Ou bien, alors qu’elles sont une fois de plus invitées à entrer dans un énième poste de gendarmerie : « C’était justement l’une de ces très vieille maison en bois que j’étais curieuse de visiter ! »
Deux écrivains qui voyagent en auto (avec des pannes, des frayeurs aux bords des précipices, des paysages somptueux ou inhospitaliers) font, en ces lieux et à cette époque, des rencontres étranges, inattendues, et parfois pas évidentes, dans des pays où les hommes « n’ont vu jusqu’ici que les visages de quatre khanoums : leur mère, leur soeur, leur femme et leurs filles. »
Mais si les afghans n’avaient pas les mêmes moeurs que les occidentaux, ils commençaient pourtant, aux aussi, à être embarqués par le progrès. Ce que déplore Ella Maillart. « La question pourrait se résumer ainsi : les avantages que procurent l’hôpital, l’école, le journal ou la radio compensent-ils, aux yeux de l’ouvrier afghan, la perte de ce sourire facile qui accompagnait sa vie dure mais bien équilibrée de paysan ? » Ou, dit autrement : « Je me demande même s’il est possible qu’un montagnard aux idées confuses désire échanger son ciel libre contre la vie de fabrique avec une chambre pouilleuse à Kaboul, afin de rire à des films dégradants tournés dans des décors de carton ; afin de se faire raser chaque jour en apprenant les racontars de la ville ; afin de pouvoir remplir les oreilles de ses voisins de nouvelles journalistiques mal digérées. »
Ce livre est un modèle du genre, et est justement considéré comme un classique de la littérature de voyage. Si vous ne devez lire que cinq livres de voyage, il faut mettre celui-ci dans votre sac à dos.
Un proverbe afghan pour terminer cette note de lecture : « La nuit est destinée au sommeil, le jour au repos et l’âne au travail. »
Lionel Bedin, Moncelon.com

> Ce livre écrit en 40 retrace un voyage qui eut lieu en 39 depuis la Suisse jusqu’en Afghanistan. C’est aussi l’expérience intérieure d’une femme qui tente d’aller à l’encontre d’une réalité à sa mesure. Elle passera la plus grande partie de la deuxième guerre mondiale loin de l’Europe dans un ashram, en Inde. Ed. Payot. (Nelly LHERMILLIER)
Nouvelles Clés, (5), Mars/Avril 1989

> LA VOIE CRUELLE, par Ella Maillart - Éd. Payot. — Voilà un livre bien étonnant réédité dans la collection “Voyageurs Payot”. Rares sont sans doute ceux qui connaissaient Ella Maillart avant qu’elle fût l’invitée d'Apostrophes, jeune vieille dame émouvante de franchise qui, lorsqu’on veut lui faire dire qu’elle est une voyageuse hors du commun et la comparer à Alexandra David-Néel, s’ingénie à essayer de convaincre qu’elle fut avant tout une immense égoïste. Le livre est le récit du voyage qu’elle fit en 1939, en voiture, en compagnie d’une amie, et a l’intérêt d’offrir plusieurs plans de lecture : celui de l’histoire et de la géographie, mais surtout celui de la réflexion et de la recherche intérieure.
Sur le plan de l’histoire, Ella Maillart nous fait vivre l’effervescence qui existait à la veille de la seconde guerre mondiale. Mais l’histoire ancienne est présente aussi, puisque à chaque halte l’auteur évoque les époques brillantes où les régions traversées étaient des centres bouillonnant de vie intellectuelle et artistique.
Sur le plan géographique, nous voyageons avec bonheur de l’Europe en Inde, traversant la Turquie, l’Iran, l’Afghanistan. Par touches brèves de couleurs et de senteurs, l’auteur, particulièrement fasciné par la palette des bleus, décrit à merveille villes d’Orient, paysages arides ou flamboyants. Son regard sur les hommes est aigu, lucide, ému parfois par leur beauté, toujours dépourvu de faux apitoiements ; il remet les choses à leur place, voyant les autres avant tout pour ce qu’ils sont : des semblables qui ont un mode de vie différent, non pas des malheureux à qui l’Occidental prétend apporter aide et protection — mais surtout le “progrès” et les besoins qu’il crée — en évitant hypocritement de voir les bouleversements sociaux et les nuisances qu’il entraîne aussi. Les choses n’ont malheureusement pas changé et le lecteur retrouvera sans doute avec étonnement les réflexions qui ont été les siennes lorsqu’il s’est trouvé dans une de ces parties du monde dites en voie de développement.
Un tel voyage est bien sûr riche en petites misères diverses : tracasseries administratives, chaleur, moustiques, pannes… et l’auteur nous en fait part, mais avec légèreté…
C’est enfin la recherche intérieure qui donne toute sa richesse à cet ouvrage, car c’est avant tout à la recherche d’elle-même et du secret d’une vie harmonieuse qu’Ella Maillart part en voyage ; inquiétude partagée avec la frêle et tourmentée Christina qui s’acharne à souffrir de toutes les injustices du monde, cherche dans les drogues l’apaisement de son angoisse et finira par trouver aussi la vérité, vérité exprimée en ces termes dans les dernières pages : " Etre acceptée par la terre. Comprendre sa signification. Puis sentir combien elle est un tout, et vivre la force de cette unité. Alors seulement il sera temps d’aimer chaque partie de ce tout, enfin libérée de l’aveuglement inhérent à un amour partiel. " (Nelly LHERMILLIER)
Nouvelles Clés, (6), Eté 1989, (p. 76)
  Joop-le-philosophe | Jun 2, 2020 |
This a combined review of [b:All the Roads Are Open: The Afghan Journey|12504523|All the Roads Are Open The Afghan Journey|Annemarie Schwarzenbach|https://d.gr-assets.com/books/1342213466s/12504523.jpg|13764265] and [b:The Cruel Way: Switzerland to Afghanistan in a Ford, 1939|19322066|The Cruel Way Switzerland to Afghanistan in a Ford, 1939|Ella K. Maillart|https://d.gr-assets.com/books/1386635505s/19322066.jpg|27375115]. Quotes are taken from The Cruel Way.

"The gist of our dialogue had been that if she was mad I was mad too: I was unwilling to let myself be strangled by that prudent life that everybody advocated. I also was convinced that— whether we succeed or not— it is our job to search for the significance of life."

The Cruel Way and Alle Wege Sind Offen (published in English as All the Roads are Open) are two accounts of an incredible road trip. In 1939, Annemarie Schwarzenbach and Ella Maillart - both women were Swiss journalists and experienced travelers - set off from their native Switzerland on the eve of WWII to escape the madness of Europe and drive (yes, drive) across Europe, Turkey, Persia (Iran) to Afghanistan (and India if they can reach it).

Though, the wish to escape was probably more AS' motive. EM quite openly discusses that her motive was to help her friend (AS) to shake a morphine addiction and to recuperate from bouts of depression - descriptions of both are described quite vividly and (as far as I can tell) earnestly in The Cruel Way.

Maillart's book (The Cruel Way) was published in 1947 (five years after AS' death), and on request of AS' family, Maillart disguised AS as the character Christina.
Schwarzenbach's account Alle Wege Sind Offen was published in 2008, though some of her articles were published during the trip.

I originally started reading Alle Wege sind Offen - a journal of her third and last journey from Switzerland to Afghanistan. When I reached the part where she non-nonchalantly mentions that she drove the car into a ditch, I was curious to see what impact this had on her travels and most of all how her travel companion, Ella Maillart, experienced the accident - and whether it would be mentioned in Maillart's book.

It made sense to read both in parallel. Reading both books in parallel was like being told the story in 3D.

It was also quite gut-wrenching. AS' writing is lyrical and reflects her anxieties and weariness. I'm not sure this is deliberate. It feels more like her writing is inevitably the only true way she can express herself. EM hints at this in her book, too.

"She was harassed by her fight with the doctors: they would not understand that writing was life and food to her, that the regenerative cure of enforced rest applied to dyspeptics and hysterics could not suit her."

EM's writing is a contrast to that of AS - no aloofness to be found here. She's fairly grounded and practical. Because of that, more of the actual circumstances of the trip are revealed.

"Our descent was impressive. The track had been hacked out half -way down a sandy slope. Christina drove, sitting towards the mountain— which was lucky: from my seat it looked as if our off-side wheels were in the void. At some places the crumbling soil was stiffened with a row of faggots. While we skidded round sharp curves, the glistening shale reminded me of the icy track the ski-racers had rushed down six months ago at Zakopane. I said nothing: to this day I am sure that Christina never guessed how soft that ledge was."

Having read the two accounts and looking at how not only the lives of AS and EM but how the world they describe would change shortly after their accounts end, makes for tough reading.

“I am thirty. It is the last chance to mend my ways, to take myself in hand. This journey is not going to be a sky -larking escapade as if we were twenty— and that is impossible, with the fear of Hitler increasing day by day around us. This journey must be a means towards our end. We can help each other to become conscious, responsible persons. My blind way of life has grown unbearable. What is the reason, the meaning of the chaos that undermines people and nations? And there must be something that I am to do with my life, there must be some purpose for which I could gladly die or live! Kini . . . how do you live?”

The reward for having read both books is that I get a better understanding of the world they traveled, a world that would disappear shortly after the trip. That I learned much about the attitudes of travelers and people they meet, attitudes sometimes so liberal and forward thinking that it is surprising and terrifying to know that only a few decades later it would seem that the countries they have traveled in had always been closed to visitors. ( )
  BrokenTune | Aug 21, 2016 |
De quoi est fait un livre de voyage?
L'approche d'Ella Maillart se compose de belles descriptions géographiques, d'un souci à toujours relier les lieux à leur histoire (ce qu'elle fait avec une précision d'archéologue), et d'un intérêt marqué à la description des personnages qu'elle rencontre.
De plus, ce récit à la particularité d'être celui de deux personnes qui cherchent à se comprendre et s'entraident.
Par la suite, le vrai ton du récit s'installe dans la préoccupation d'Ella Maillart à trouver un sens à son voyage, et dans ses interrogations sur la psychologie des deux voyageuses. Il est aussi question des répercutions individuelles de la guerre, alors en route en occident.

Les aspects techniques et pratiques du voyages sont bien détaillés, mais l'auteur n'en oublie pas de prendre du recul et d'en dégager des significations: un bon dosage.
  gigile | Apr 27, 2008 |
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Silvaplana in the Engadine was the spring board of our imagination in its soaring East by South to the great water-sheds of Asia.
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Ingen/inga

In 1939 Swiss travel writer and journalist Ella K. Maillart set off on an epic journey from Geneva to Kabul with fellow writer Annemarie Schwarzenbach in a brand new Ford. As the first European women to travel alone on Afghanistan's Northern Road, Maillart and Schwarzenbach had a rare glimpse of life in Iran and Afghanistan at a time when their borders were rarely crossed by Westerners. As the two flash across Europe and the Near East in a streak of élan and daring, Maillart writes of comical mishaps, breathtaking landscapes, vitriolic religious clashes, and the ingenuity with which the women navigated what was often a dangerous journey. In beautiful, clear-eyed prose, The Cruel Way shows Maillart's great ability to explore and experience other cultures in writing both lyrical and deeply empathetic. While the core of the book is the journey itself and their interactions with people oppressed by political conflict and poverty, towards the end of the trip the women's increasingly troubled relationship takes center stage. By then the glamorous, androgynous Schwarzenbach, whose own account of the trip can be found in All the Roads Are Open, is fighting a losing battle with her own drug addiction, and Maillart's frustrated attempts to cure her show the profound depth of their relationship. Complete with thirteen of Maillart's own photographs from the journey, The Cruel Way is a classic of travel writing, and its protagonists are as gripping and fearless as any in literature.

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